L’abri de piscine bas se présente souvent sous la forme d’une parabole recouvrant la piscine. Il existe des abris de piscine bas un peu plus « plats ». Un abri de piscine bas ne dépasse pas un mètre de hauteur. La hauteur entre la surface de l’eau et du toit de l’abri peut être de l’ordre de quelques dizaines de centimètres. Vu de l’extérieur, l’abri de piscine apporte une touche esthétique à votre piscine. Lorsque l’on est à l’intérieur, il est toujours possible de nager, mais en revanche, il sera impossible de se lever sur le pourtour de la piscine. Pour quitter la piscine (et l’abri de piscine bas), une porte est présente sur l’un des pôles de l’abri de piscine.
Il existe toutefois des modèles d’abri de piscine bas qui facilitent l’accessibilité de la piscine, et qui permettent de profiter du soleil lorsque celui-ci est présent. L’abri de piscine bas peut être relevable, c’est-à-dire qu’une partie de l’abri peut être relevée afin de sortir plus facilement, ou de profiter d’une partie du soleil. Il peut être également amovible. L’intégralité de l’abri de piscine bas se replie vers une extrémité de la piscine et ainsi, dans des conditions climatiques favorables, on peut profiter de la chaleur naturelle du soleil pour chauffer la piscine ou bronzer. Dans une optique relativement similaire, on retrouve également l’abri de piscine bas télescopique. Il est possible de motoriser l’abri de piscine bas, afin de faciliter par exemple le repli de l’abri, mais cela sera un peu plus onéreux. Si l’on habite seul, il est préférable d’opter pour la motorisation d’un abri de piscine bas amovible car il est souvent nécessaire d’être au moins deux pour le faire manuellement.
L’abri de piscine bas permet de conserver la chaleur au plus près de la surface de la piscine. La température de la piscine peut être incrémentée de quelques degrés. Cela permet de prolonger la durée d’utilisation de la piscine à la mi-saison. Le type de piscine importe peu dans la mesure où les abris de piscine bas sont adaptés pour la totalité des piscines.
