Quand on pense à Schneider, on pense télévisions ou radio. Et à juste titre. Mais aujourd'hui la marque ne se limite pas qu'à cela.La marque qui avait disparu des écrans au début des années 2000, renaît de ses cendres et tente de diversifier ses activités. Et ce, en s'insérant sur un marché qui lui était jusqu'ici inconnu, l'électroménager. La marque française démarre en développant deux gammes, une rétro et une plus contemporaine. Philippe Samuel, président du groupe ADMEA explique : "sur les télévisions nous avons conquis 3% des parts de marché". Ce qui, pour un secteur très concurrentiel est plutôt honorable. Seulement voilà :"nous nous sommes aperçus que, dans l'inconscient collectif, l'association avec Schneider se faisait aussi du côté de l'électroménager", raconte Philippe Samuel.  

Une gamme rétro

Qu'à cela ne tienne, Schneider décide donc de se lancer dans cet autre secteur, lui aussi très concurrentiel. Avec notamment une gamme rétro qui propose de l'électroménager regroupant les technologies actuelles, mais habillées du design arrondi propre aux années 1950. Une valeur sûre déjà exploitée par Smeg et Kitchen Aid. Avec des réfrigérateurs, des fours, un lave-vaisselle, des bouilloires rondes, des micro-ondes, des robots pâtissiers... Pour ces produits, Schneider revendique des prix plus accessibles. Par exemple, pour un frigo de 250L, compter 649 euros, en 315L et toutes fonctions, compter 899 euros. Bref, l'un des chevaux de bataille de Schneider : Le design accessible à tous.  

Une gamme contemporaine

Si la gamme rétro est largement mise en avant, une autre plus classique est proposée.   La gamme comprend des hottes, des micro-ondes, des tables de cuisson, des congélateurs, des réfrigérateurs deux portes, combinés ou multiportes, des cubes et des table tops pour les petits espaces. Ainsi que des lave-linges de 5,5 à 10 kg et des lave-vaisselles. Les appareils sont disponibles en trois finitions : blanc, noir et inox. Pour ses débuts dans le secteur, ces gammes résultent avant tout d'une étude de marché. Schneider cherche dans un premier temps à s'aligner sur la concurrence.