Ségolène Royal © Grégoire Noble
Lors d'une réunion du Conseil national de la transition écologique (CNTE), Ségolène Royal a effectué les premiers échanges avec les différentes parties prenantes, mettant ainsi en place une dose de démocratie participative. Objectif : ouvrir les débats sur les questions écologiques. Détails.
La ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, souhaite insuffler de la démocratie participative en matière d'environnement. C'est ce qu'elle a fait en entamant les premiers échanges avec différentes parties prenantes lors de la 10e réunion du Conseil national de la transition écologique (CNTE).
"Il s'agit de moderniser les procédures existantes, sans les alourdir, et d'assurer la transparence du débat public, sans en allonger les délais, et ce afin que les personnes concernées puissent participer à l'élaboration du projet, que les différentes options soient examinées et que les autorités puissent décider en toute transparence", indique-t-elle dans un communiqué. Ces échanges portent sur sept axes de travail (voir encadré).
En parallèle, une commission spécialisée chargée d'accompagner la préfiguration de l'Agence française pour la biodiversité a également été créée. Cette commission vise à "interagir avec les préfigurateurs, de leur apporter l'éclairage des acteurs et d'organiser, le cas échéant, avec eux, des consultations plus larges".