Soucieux de la qualité de l'air intérieur et de réduire leur facture énergétique, les propriétaires d'une maison en Gironde ont opté pour un isolant biosourcé fabriqué à partir de laine de coton recyclée.

"Nous voulions une pose et un produit qui favorise la circulation de l'air pour une maison saine. Comme notre fille souffre d'asthme au quotidien, nous voulions qu'elle respire bien chez elle. Inutile de préciser que nous voulions une matière non toxique et un produit non allergène", explique le propriétaire. Un choix logique par rapport à leur mode de vie : "nous récupérons l'eau, nous essayons de produire nos propres légumes, nous limitons les déchets... Alors même notre isolant se devait d'être recyclable !" Une demi-journée de travail aura été nécessaire pour traiter les 70 m2 concernés. Découvrez l'intégralité du reportage ici.

Dans l'Essonne, les propriétaires de cette maison des années 1980 ont souhaité réaménager des combles perdus. "L'idée était de créer deux chambres et une salle de bains pour agrandir la maison", explique le conducteur des travaux, Serges Pires Leal. Mais avant tout, il a fallu renforcer la charpente, créer un plancher, et bien sûr, isoler le tout. Les combles renferment deux couches successives d'isolants en laine minérale de verre. L'une de 60 mm et l'autre de 160 mm. La seconde couche embarque une membrane pare-vapeur, pour assurer l'étanchéité des lieux et prévenir tout risque de condensation dans les parois et donc de moisissures. Découvrez l'intégralité du reportage ici.

Dans ce vieil appartement parisien, l'isolation était presque inexistante. Les propriétaires voulaient renforcer le confort thermique de leur appartement, en perdant le moins possible de surface habitable, dans un quartier où le prix au m2 dépasse les 10.000 euros. L'entreprise en charge du projet, a proposé un système plus cher qu'une isolation en laine de verre (250 € du m2), mais plus compact avec une emprise au sol moindre, un lambda de 5,2 mW/(m.k) et une résistance thermique entre R=4,25 et 4,55 m2K/W. Ces petites plaques sur mesure embarquent tout un système isolant compressé qui se colle au mur. Résultat, l'appartement n'a perdu qu'1m2. Découvrez l'intégralité du reportage ici.

Cette maison a été isolée par l'extérieur en combinant deux techniques de pose de panneaux de verre. L'entreprise en charge du chantier a d'abord installé des plaques de verre cellulaire puis des panneaux STO en billes de verre, avec un tramage en fibres. La raison de ce choix est avant tout, l'étanchéité. "Il n'y a aucune migration d'eau ou d'air derrière les complexes. La colle ne peut donc pas se dégrader ce qui assure une durée de vie élevée à ce système d'isolation", affirme Jérôme Morcant gérant-associé de l'agence Duval en charge du chantier. Les panneaux se découpent simplement pour s'adapter à la typologie de la bâtisse. Découvrez l'intégralité du reportage ici.

En Normandie, une maison a été isolée à l'aide d'une mousse présentée comme plus respectueuse de l'environnement, l'Icynene. Un système d'isolation inventé en 1986 au Canada. Il se compose de 99% d'air et contient peu de solvants. Il se pulvérise à chaud sur un panneau de contreventement. Souple, le produit ne craint pas l'humidité et une fois expansé, il s'adapte aux recoins de la construction. Une fois posé, au fil du temps, le produit conserve sa densité. Découvrez l'intégralité du reportage ici.

Cette maison à ossature bois a été isolée par l'intérieur et l'extérieur, via une technique adaptée aux bardages composée de panneaux qui embarquent de la laine de roche. "Ces panneaux existent en deux largeurs, pour un ajustement aux montants des ossatures bois", détaille Frédéric-Jérôme Cardona de chez Rockwool. Après travaux, la maison n'a besoin que d'un chauffage de 5 Kw pour une surface de 115 m2. Découvrez l'intégralité du reportage ici.

L'isolation thermique par l'extérieur (ITE) convient aux maisons à l'architecture atypique. C'était le cas de cette hacienda de 450 m2 en Corse. Elle s'est vue protéger du froid, mais aussi de la chaleur, par une isolation thermique par l'extérieur. Des plaques de polystyrène expansé, ont été calés sur l'extérieur de la bâtisse à l'aide d'un mortier spécial, puis des chevilles ont été posées et les plaques de polystyrène découpées au niveau des zones irrégulières de la façade, près des robinets, des prises électriques ou encore des luminaires. Découvrez l'intégralité du reportage ici.